Les organisations financières traditionnelles sont souvent frileuses à l’idée d’accorder un prêt à des femmes, des jeunes de moins de 35 ans, des immigrants ou encore à des personnes dont la cote de crédit n’est pas très reluisante. Les travailleurs autonomes et les propriétaires de microentreprises, qui demandent des prêts trop petits ne sont pas non plus les chouchous des banques, pas assez rentables.
«Le financement est l’obstacle numéro 1 à la création d’une entreprise pour 60 % des entrepreneurs», confirme le directeur du Fonds d’emprunt Québec, Jean-Pierre Bédard.
Grâce au microcrédit, toutes ces personnes peuvent donc espérer accéder au rang de chef d’entreprise. «L’objectif est d’aider les communautés locales. La majorité des entreprises offrent des services aux personnes ou aux entreprises», explique M. Bédard.
Photo par Patrice Laroche, Le soleil
Les organisations financières traditionnelles sont souvent frileuses à l’idée d’accorder un prêt à des femmes, des jeunes de moins de 35 ans, des immigrants ou encore à des personnes dont la cote de crédit n’est pas très reluisante. Les travailleurs autonomes et les propriétaires de microentreprises, qui demandent des prêts trop petits ne sont pas non plus les chouchous des banques, pas assez rentables.
«Le financement est l’obstacle numéro 1 à la création d’une entreprise pour 60 % des entrepreneurs», confirme le directeur du Fonds d’emprunt Québec, Jean-Pierre Bédard.
Grâce au microcrédit, toutes ces personnes peuvent donc espérer accéder au rang de chef d’entreprise. «L’objectif est d’aider les communautés locales. La majorité des entreprises offrent des services aux personnes ou aux entreprises», explique M. Bédard.
Photo par Patrice Laroche, Le soleil